Moeno Wakamatsupréfère ne pas qualifier sa danse de Buto.
Car c'est un fardeau très lourd à porter, de tout le poids des maîtres et des aînés. Un mot chargé d'émotion et de sens.
Un héritage douloureux, écrasant, que Moeno doute d'être digne d'accepter.
Question d'exigence, question de modestie, question de respect.
Quoi qu'il en soit, en attendant de la voir les 6 et 7 juin au Centre Bertin Poire, les soirées seront bien longues à passer.