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Que veux-tu dire par retour du kitsch ? Peut-on associer ce terme au ‘mauvais goût’ ?
Et si le kitsch revient, comment le comprendre ? Comme une démarche critique , voire cynique (l’équivalent de ce que fait Jeff Koons dans les arts plastiques) ? démagogique , pour servir au bon peuple ce qui lui plaît ? autre ?
Il y a quelque chose qui relève du mauvais goût assumé. De l'outrance?
Du populaire qui devient de l'intellectuel?
Mais le phénomêne est malaisé à définir.
Comme toi j'en suis au stade des questions. Je compte bien persécuter Isabelle Barbéris, qui vient d'organiser un colloque à ce sujet, pour trouver des réponses.
A quand le retour de Guy sur la blogosphére?
Merci de t'en inquiéter.
Je ne suis pas vraiment parti, mais assez discret, il est vrai.
D'une part mes occupations professionelles me laissent en ce moment moins de disponibilité et de respiration, d'autre part je suis absent d'Avignon et illégitime pour participer aux débats autour de cet evenement, et surement assez inaudible si je parle d'autre chose...
Je suis allé observer ces dernières semaines- souvent avec la complicité de Jérome- des projets en train de se developper discretement et loin de toute actualité: le solo de Jesus Sevari et son travail avec un groupe de collégiennes, la nouvelle pièce de Sofia Fitas... J'irai aussi enfin cet été aux laboratoires d'Aubervilliers, dont tant d'amis m'ont parlé. Il y en aura des traces ici...
Je crois que mon projet en revient à ses origines: parler autrement d'artistes trop peu visibles (même si j'ai encore la faiblesse, voire parfois le plaisir, de fréquenter des lieux plus institutionnels tels l'Odéon ou le Théatre de la ville, mais cela m'aide à structurer le reste). Et m'ouvrir aussi à d'autres formes vivantes: le jazz, l'opéra, les lectures...
voilà qui est mieux. Depuis le 24 juin, plus aucun billet; j'étais inquiet.
Il faudrait peut-être mettre sur ta page d'accueil la réponse que tu viens de me faire!
a bientôt
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Que veux-tu dire par retour du kitsch ? Peut-on associer ce terme au ‘mauvais goût’ ?
Et si le kitsch revient, comment le comprendre ? Comme une démarche critique , voire cynique (l’équivalent de ce que fait Jeff Koons dans les arts plastiques) ? démagogique , pour servir au bon peuple ce qui lui plaît ? autre ?
Il y a quelque chose qui relève du mauvais goût assumé. De l'outrance?
Du populaire qui devient de l'intellectuel?
Mais le phénomêne est malaisé à définir.
Comme toi j'en suis au stade des questions. Je compte bien persécuter Isabelle Barbéris, qui vient d'organiser un colloque à ce sujet, pour trouver des réponses.
A quand le retour de Guy sur la blogosphére?
Merci de t'en inquiéter.
Je ne suis pas vraiment parti, mais assez discret, il est vrai.
D'une part mes occupations professionelles me laissent en ce moment moins de disponibilité et de respiration, d'autre part je suis absent d'Avignon et illégitime pour participer aux débats autour de cet evenement, et surement assez inaudible si je parle d'autre chose...
Je suis allé observer ces dernières semaines- souvent avec la complicité de Jérome- des projets en train de se developper discretement et loin de toute actualité: le solo de Jesus Sevari et son travail avec un groupe de collégiennes, la nouvelle pièce de Sofia Fitas... J'irai aussi enfin cet été aux laboratoires d'Aubervilliers, dont tant d'amis m'ont parlé. Il y en aura des traces ici...
Je crois que mon projet en revient à ses origines: parler autrement d'artistes trop peu visibles (même si j'ai encore la faiblesse, voire parfois le plaisir, de fréquenter des lieux plus institutionnels tels l'Odéon ou le Théatre de la ville, mais cela m'aide à structurer le reste). Et m'ouvrir aussi à d'autres formes vivantes: le jazz, l'opéra, les lectures...
voilà qui est mieux. Depuis le 24 juin, plus aucun billet; j'étais inquiet.
Il faudrait peut-être mettre sur ta page d'accueil la réponse que tu viens de me faire!
a bientôt