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Les spectacles qu'on ne chroniquera jamais...

...ce n'est pas parce qu'ils étaient mauvais, c'est parce que quelques blocages s'y sont opposés, et qu'il nous fallait garder aussi un peu de temps pour gagner de l'argent, réver, aimer... Ces spectacles on les évoquera quand même, histoire de laisser derrière nous mourir tous les regrets.

  • L'Ecole des maris et le Malade Imaginaire de Molière, mis en scène par J.L. Jeener: parce que les mises en scène de Jeener sont d'une si parfaite humilité, qu'on chercherait en vain à raconter sans tomber dans l'explication de texte. Comme on suppose que tout le monde connaît les pièces... Et comme on ne surprendra personne en révélant que Philippe Desboeuf  est un parfait Argan... A voir au Théatre du Nord Ouest  en alternance jusqu'à debut mars. 
  • Shhh d'Abraham Gomez Rosales, adapté et mis en scène par Alexandre Blazy et Valentin Capron vu en juillet à Gare au théatre parce qu'on était trop en manque de vacances pour réussir à écrire sur une proposition dont l'esthétique était assez éloignée de nos inclinaisons... mais c'était une proposition drôle et politiquement intéressante (et pourtant on ne parlait pas autant d'Edwige à l'époque). A voir actuellement à la Comedia
  • Omlett (trés librement) adapté d'Hamlet de Shakespeare et mis en scène par Maryline Klein, vu au même endroit. On en parlera pas plus pour des raisons éthiques: la caricature d'adversaires politiques sous la forme d'animaux, avec pour conséquense leur déshumanisation, est une dérive de type pré-fasciste (ou maoiste, c'est selon).
  • Rosaura de Brigitte Seth et Roser Montlo Guberna: qu'on a vu, revu (cette fois ci avec Artdanthé), et qu'on reverra tant qu'on pourra. En parler, ce serait l'enfermer, on ne peut pas.
  • Butonic de Yumi Fujitani, à Bertin Poirée, proposition en prise de risque d'une belle artiste en rupture de buto, mais que pour le coup on a eu du mal à suivre.
  • Bajo, feo y de madera de Luis Basiotto vu en juin à 100 dessus dessous:  parce que la proposition, pas inintéressante, s'est trouvée malheureusement eclipsée dans notre espace mental un peu limité, par les créations plus polémisantes d'Allio-Weber et Miet Warlop vues durant la même soirée.
  • Le Sacre du Printemps par Eddy Maalem... vu en juillet au parc de la Villette. Un rendez vous manqué de l'avoir trop attendu? On a entendu Stravinsky mais on a pas vu l'Afrique... A revoir, une autre année sans doute.
  • Printemps futile dansé en février par Moeno Wakamatsu  à la fond'action Boris Vian: parce qu'on avait deja écrit 7 notes à propos des performances de Moeno, et que Jerôme était plus frais sur ce beau sujet. Moeno danse les 17 et 18 octobre prochain au même endroit.

Guy

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