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le generateur

  • Good Vibrations

    Des mois de grisaille, enfermé, le printemps confiné. Puis le temps de la lourde lumière de l'été, la canicule qui nous fige dans l'oubli.

    Ce soir enfin reviennent les mouvements, les rythmes, les couleurs. A recevoir en plan d'ensemble, à explorer, de loin, de près, en s'égarant dans le mystère des textures, des autres réalités. Ces couleurs, les danseuses s'en saisissent à bras le corps, s'y glissent, les éprouvent, s'y faufilent. Elles renvoient les vibrations qui irradient des œuvres partout aux murs, ou offertes au sol, elles jouent avec le vif des tissus. Qui s'envolent et nous éclaboussent de vitalité. Ça a commencé- on ne saurait dire vraiment quand- sans frontières, aux hasards de la musique, de même que cet espace ouvre assez de génerosité pour nous faire oublier le dehors du dedans. Ça restera beau, toujours inachevé, sans cesse à recommencer. Une minute de danse trouve sa place dans l’œil d'une camera, mais autour le mouvement s'étend, renvoyé d'un corps à l'autre sans plan ni contrôle. On ne demande rien, prêt à accepter, on se laisse porter, bien.

     

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    Reciprocal de Bernard Bousquet, installation et performance avec:  Musicien.ne.s : HBT, Laurent Melon, Reïne
    Danseur.se.s : Maita Aubel, Link Berthomieux, Léa Bridarolli, Sijia Chen, Isabelle Clarençon, Lea Dasenka, Éléonore Dugué, Frida Enciso, Lucile Grémion, Lucas Hérault, Delphine Jungman, Malou Linocier, Federica Miani, Biño Sauitzvy, Yvonne Smink, Eneas Vaca Bualo, Nadia Vadori-Gauthier
    Stylisme : Token Monde

    Vu le 12 septembre 2020 au Générateur

    Guy

  • Fenêtres sur cour

    Depuis 10 jours on se parle tous par écrans- familles, amis, professionnels, étudiants- ce soir la performance se trouve un chemin là dedans, et fait la nique au confinement. Ose. Rendez-vous sur ZOOM dans un Générateur virtuel, qui agrège en mosaïque les espaces personnels des performeurs chez eux. 
     

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    Évidemment au début ça balbutie -et tant pis- ça cafouille, chacun dans son coin, distancié. Les règles sont à réinventer avant de les enfreindre: belle confusion, avec la voix des spectateurs qui ont oublié de couper le micro. Tous réduits en cadre fixe et en deux dimensions, comme au début du cinéma, comme nos vies en ce moment. 
    L'espace virtuel s'organise, une quinzaine de petites fenêtres s'ouvrent pour qu'on s'y engouffre. On dirait la façade d'un immeubles, rideaux ouverts sur autant de scènes vivantes. On réagit à ces invitations , et l'on zoome d'écran en écran comme on arpenterait la salle du Générateur pour s'approcher d'une performance ou d'une autre. Propositions bavardes ou laconiques, visions inexpliquées, belles, loufoques, dans les salons, chambres, couloirs, escaliers ou salles de bain, sans dessus-dessous. Chants, dessins, corps immobiles ou en mouvement. Ou juste le regard attentif de spectateurs dont la camera est allumée. Tous unis par la volonté de ne pas renoncer.
    On sourit. Et le moment est aussi émouvant à la mesure de ce qui manque, à la mesure de la frustration de ne pas pouvoir plus s'approcher, une promesse d’après.
     

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    Zoom Your Frasq sur l'application Zoom par les artistes du Générateur, le 29 mars 2010.
  • Le miracle permanent

    La scène jonchée d'objets d'abord sans sens, l'homme s'y affaire, danse. C'est à dire qu'il construit, gestes après gestes, suit une pensée, organisée vers une finalité. Ses mouvements sont poétiques, ses mouvements sont pratiques, en même temps. Ce processus est lent, tout semble si fragile. Tout oscille, branle, dans le mobile géant qu'il assemble. Tout entier le corps en grâce, s'engage dans cette construction , s'y plie, en est le centre de gravité, la variable d'ajustement. Ce corps surprend, émeut d'acrobaties limites, par l'équilibre improbable qu'il maintient. Réalise un miracle modeste et permanent, en poids et contrepoids. Il y parvient. Il y a là deux œuvres à voir. Celle performative dans la durée, soutenue par la musique, celle de l'action qui se fait, espère, entreprend. Et celle de l'instant donné, le moment de la fin, le résultat obtenu: une construction inattendue et en suspend. Cet instant là demeure encore un peu lorsqu'on se lève pour quitter les lieux, baigné d'un optimisme raisonnable. La vie est sans doute aussi fragile que cela, possible pourtant, et ce qu'on en fait.
     
    Il n'est pas nécessaire d'espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer.- Guillaume d'Orange

     

     

    h o m (résidence #1) from Groupe FLUO on Vimeo.

     

    H O M de Benoit Canteteau , vu au Générateur de Gentilly le 18 février , dans le cadre du festival Faits d'hivers

    Guy

  • Un soir pas comme un autre

    Clotilde Béoutis, primo-spectatrice samedi au Générateur, raconte Show Your Frasq #4:

    Tout commence par d’épais rideaux de velours rouge, et un petit soleil tamponné sur nos mains. Ce n’est pourtant ni l’entrée d’un théâtre, ni celle d’une boîte de nuit, ou peut-être un peu des deux à la fois. Au milieu des spectateurs qui entrent timidement, un verre à la main, se glisse un petit chien frétillant. Au centre, un ange passe, au sens propre seulement, et s’installe devant sa batterie. Il ne joue pas cependant, et fixe désespérément quelque chose que nous ne pouvons pas voir. A ses pieds une jeune fille dort, serrant son oreiller comme s’il s’agissait de sa dernière attache avec la réalité. La musique commence. Au fond, dans une petite tente qui rappelle celles des SDF ou des migrants, se cache l’allégorie de la république. Un sein à l’air, la Marianne des temps modernes nous raconte des histoires de la guerre, de toutes les guerres, sous les regards amusés d’enfants qui miment le bruit des fusils en sautant sur du papier à bulle.

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    Le chien, lassé des spectateurs, vient lécher la nourriture que son maître se tartine lui-même sur le corps.

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    Une danseuse nous propose de tirer des cartes sur lesquelles sont inscrites des contraintes rythmiques ou corporelles pour la faire danser.

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    Petit à petit, l’ambiance s’électrifie. Les personnages se réveillent. Le niveau sonore augmente, les danses s’emballent. Deux hommes miment un combat. Les enfants s’en mêlent, avec plus de sérieux que les adultes.

     

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    Au centre, insensible à ce qui se passe autour d’elles, deux personnes valsent, casques vissés aux oreilles pour ne pas entendre le bruit ambiant.

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    Les spectateurs sont invités à participer, à danser, à écrire des vœux sur un petit carnet, à se mettre tout nu dans un lit ou à prendre un cours express de mandarin.

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    Le quatrième mur se brise. Le combat s’intensifie, les performeurs se rassemblent peu à peu au centre de la pièce. Un homme et une femme nus et enlacés roulent à terre, puis se lèvent et marchent droit devant eux, les yeux fermés. Ils bousculent des spectateurs surpris.

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    Certains sortent reprendre un verre, d’autres attendent la suite. La nuit ne fait que commencer

    Clotilde Béoutis

    C'était Show your Frasq #4 au Générateur le 15 decembre Avec Margot Blanc • Isabelle Clarençon • Sonia Codhant • David Noir • Ismaera Takeo Ishii • Alberto Sorbelli • Elizabeth Saint-Jalmes • Adrien Solis, Deus & Jaya • Cyril Leclerc • Julien Haguenauer • Marc Planceon • Georges Lesayah, Ida Helene Heidel, Claude Barthélemy & Frédéric Bouquet • Claire Faugouin • Éléonore Didier & Lucia Soler • Olivier Chebab, Thomas Laroppe, Céline Paul, Nicole Ah-Von, Valérie et David Dreyfuss, Elena Missini, Niataé Le Fripon, Valentine Mizzi, Aitana Lou, Alexandre Morzy • Eleni Lni • Anna Ten • Anne-Sarah Faget

    Photos Guy

    lire aussi

    Show your frasq #1

    Show your frasq #2

  • Les joies de l'automne

    Trois mois après le solstice d'été, s'incarne avec le corps collectif la nouvelle étape du cycle naturel: le moment de l'équinoxe d'automne. Débordent toujours la générosité et la gourmandise, les courses et bonds, les gestes emportés, le vin qui coule sur les chairs cuivrées. Mais la saison change vers moins de lumières, plus de réserve. Dans la musique la mélancolie des violons domine les emportements d'Elvis, et les feuilles mortes jonchent le plateau. La danse se fait plus mure, dans l'équilibre du jour et de la nuit. Mais toujours les performances de chacun ne prennent de sens que dans l'ensemble, en relations sensibles, dans l'unité d'un rite. Pour nous aider à survivre à ce qui vient: un plein d'énergie. Je reçois, tardive sensibilisation pour un parisien hermétique. Synchronicité: ce samedi je déguste "Les grands espaces" les mémoires d'enfance à la campagne en BD de la toujours drôle et intelligente Catherine Meurisse. Plus tard, peut-être, à nouveau marcher dans une forêt, pour de vrai?
     

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    That's all right mama 2/4:  l'équinoxe d'automne, par le corps collectif vu le 22 septembre 2018 au Générateur de Gentilly
     
    Guy
     
    Photo de Tadzio photovideo avec l'aimable autorisation du Générateur
     
  • Le point G.

    Qui est-on maintenant, ici, agit par tout ce qui d'ose, retourné? La linéarité est en pièces, bousculée d'initiatives à 360 degrés au dessus de zéro. Libre, on va ici, là, on décide du tempo. Pour un € d'embrasser la vierge, ou la putain, ou pas. Sans temps fixé s'impose l'espace généreux du Générateur et les artistes qui y prennent le pouvoir, entraînant les spectateurs, dans un désordre désorganisé. Plus de bon gout, de règles, ni de limites ou de tabous, les fous ont pris le non-contrôle de l'asile, les gardiens en permission. Ils sont nus, peints, déguisés, loufoques ou tristes, naïfs ou sardoniques, débridés ou minutieux, intimes ou politiques, secrets ou impudiques, ou les deux à fois. Çà fuse, s'agite et se confronte, avec bienveillance ou tensions pour tout essayer. S'ils ne peuvent pas ici, pour ensuite garder ou jeter, où pourraient-ils? Les performances s'entrechoquent, se commentent, se dédaignent ou copulent. Le spectateur décide avec ses pieds, part, revient, ne s'étonne de rien. Tout ça vit dans l'instant avec mille possibilités. Comprend qui peut, et celle là danse indéfiniment son corps de farine et de pain, et touche au sublime.
     

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    Show Your Frasq 2 vécu le 23 juin au Générateur de Gentilly avec les performances de Bernard Bousquet & Anna Ten • Sabine Caminade • Sonia Codhant • François-Régis Daumal • Éléonore Didier • Coline Joufflineau • Deed Julius • Mélanie Martinez Llense • Miss LNI Marin Marie • David Noir • Marc Planceon • Jérôme Poret • Adrien Solis • Élizabeth Saint-Jalmes & Cyril Leclerc Chloé Silbano • Alberto Sorbelli + Guests
     
    Guy
  • Autrement

    L'érotisme s'impose inattendu dans un nuage de fumée, s'appuyant sur béquilles et orthèses, une puissante sensualité. D'entrée Lila Derridj prend le pouvoir, sur le regard et sur tous préjugés. Enjoué, le corps corseté se libère du métal et du cuir en un singulier strip-tease. S'affirme hors-normes. Impose ses propres règles, sa dynamique, sa physicalité, son équilibre. Au sol nulle vulnérabilité: de la fantaisie, du dynamisme, de la joie, des rêveries. L'évocation chantée d'origines de l'autre coté de la méditerranée. Se déploie libre ici un autre vocabulaire chorégraphique, premier manifeste vers d'autres promesses.

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    Une Bouche de Lila Derrijd vu au Générateur de Gentilly le 4 mai dans le cadre de Perfs et Fracas

    Guy

    photo Thomas Barlatier avec l'aimable autorisation de Lila Derrijd

  • il y a de la vie dans l'espace

    Tout est possible, ces tentatives, plus ou moins, qui s'enchainent et se déchainent. Proches performances,le générateurde la vie. Foutraques et immédiates, spontanées et sans appel. Même si elles commencent à l'économie, telles les lumières des apprentis Fratellini, ou s'enflamment ou font long performances,le générateurfeu, elles démentent le mauvais présage- anagramme-de David Noir qui habillé en rat se résigne au génocide de l'art, faute de résultats. Tant qu'il y a des performances il y a de l'espoir... De l'argent, on ne sait (à part les pièces que Thomas Laroppe se met au performances,le générateurcul), mais de l'espace surement, généreusement, celui du Générateur s'ouvre grand. Dedans ça s'envole et plane ou tombe à plat, mais rebondit plus loin, librement. Dans cette utopie on surprend des répliques et des échos, des rencontres entre personnages qui s’entêtent à rester. Mais il faut accepter de se déplacer, oser pivoter d'attentes et de perspective, désobéir aux consignes et aller voir ce performances,le générateurqui surgit, s'achève ou se prépare. Intervenir, d'un coup de crayon sur la peau corps d'une belle sur piédestal. Accepter le télescopage, digne pourtant, entre des moments loufoques et ceux graves soudains, lorsque nous sommes invités à nous pencher sur les dessins d'une jeune personne disparue.  

    C'était Show Your Frasq, performances de Bernard BOUSQUET • Sarah CASSENTI • Sonia CODHANT • Lotus EDDE-KHOURI • Deed JULIUS & Olivier CHEBAB • performances,le générateurJulien HAGUENAUER • Thomas LAROPPE • Cyril LECLERC • Christophe MACÉ • Julie MONDOR • David NOIR • Élizabeth SAINT-JALMES • Delphine SANDOZ • Biño SAUITZVY et 10 apprentis de l’Académie Fratellini* • Alessia SINISCALCHI • Adrien SOLIS • Alberto SORBELLI • Anna TEN • Nadia VADORI-GAUTHIER & Margaux AMOROS au Générateur, le 24 mars 2018.

    performances,le générateurGuy

     

  • En Bref

    A nouveau vient un moment qui n'est pas attendu. Parce que pour les participants il n'y a ce soir que peu de règles, ou même aucune, si ce n'est que d’essayer de partager une évidence, en quelques minutes seulement. Pile ou Frasq est une scène ouverte à la performance: pas de programmation mais un ordre de passage tiré au sort, pas de sélection mais juste des prises de risque. Entre leur urgence d'être au plateau et notre curiosité, se crée vite un lien, ou moins. Il y a des propositions plus "dansées", mais alors pour moi moins pertinentes, trop esthétiques, dans ce cadre, d'autres construites, d'autres immédiates, d'autres qui me laissent loin. D'emblée grotesque, Art is not fun du Didier Julius déclenche aussitôt l'hilarité, par un commentaire sur la performance en général et sur celle-ci en particulier. Coline Jofflineau entraine tout droit mais avec une belle lenteur Ombre portée vers la conclusion que nous anticipons: la disparition de la performeuse au profit d'un double de papier. Ma tendresse va tout particulièrement à Tilhmenn Klapper et We're breathe the shit of plants, je suis fasciné et réjouis par les efforts plus ou moins A nouveau vient un moment qui n'est pas attendu. Parce que ce soir il y a peu de règles pour les participants, ou même aucune, si ce n'est que de partager une évidence, en quelques minutes seulement. Pile ou Frasq est une scène ouverte à la performance: pas de programmation mais un ordre de passage tiré au sort, pas de sélection, juste des prises de risque. Entre l'urgence d'être au plateau et notre curiosité, se crée vite un lien, ou moins. Il y a des propositions plus "dansées", mais au bord de l'esthétisme d'autres construites, d'autres immédiates, d'autres qui me laissent loin. D'emblée grotesque, Art is not fun du Didier Julius déclenche aussitôt l'hilarité malgré le titre, par un commentaire sur la performance en général et sur celle-ci en particulier. Coline Jofflineau organise avec efficacité Ombre portée vers la conclusion que nous anticipons: la disparition de la performeuse au profit d'un double de papier. Ma tendresse va tout particulièrement à Tilhmenn Klapper et We're breathe the shit of plants, je suis fasciné et réjoui par les efforts plus ou moins efficaces de ces jeunes gens pour garder des plantes en équilibre sur eux tout en leur parlant. Cela fait résonner en moi quelques évidences quant à l'inanité de nos propres efforts de communication. Mais ce soir particulièrement chaque spectateur vit son propre ressenti, bien évidemment. 

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    C'était Pile ou Frasq - 1ère partie le 13 octobre à Micadanses dans le cadre du Festival Frasq créé par le Générateur de Gentilly. Frasq #9 continue jusqu'à fin octobre.

     Guy 

     photo GD

  • Tellurique

     
    Plus de dix ans que je vois danser Maki Watanabe, même bien avant de tenter de l'écrire, mais cela pourrait être depuis vingt, toujours je reviens. Je reviens, comme hier, m'abandonner à cette même immédiateté, épancher le même besoin d'absolu et d'évidence. Quand la danse alentour devient trop raide, trop contemporaine, trop consciente, trop conceptuelle, trop calculée, trop asséchée, il me faut à nouveau voir Maki faire déferler ce qui est souterrain, faire ressurgir une émotion originelle ou proche de l'abime de demain. Elle le peut, par le travail d'un corps qui sait exprimer soudain cela. Mais comment, je ne saurais l'expliquer. La fusion nait hier de manière quasi improvisée avec de nouveaux partenaires qui véhiculent la même puissance tellurique: Michel Deltruc et Patricia Dallio. Leur musique gronde et soulève des ondes qui la propulsent en territoires inconnus.
     

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    Maki Watanabe-danseuse-, Michel Deltruc-batteur percussionniste et  Patricia Dallio-olitherpiste, lutherie électronique- le 29 avril au Générateur de Gentilly dans le cadre d' ((Ow-Ao))#4: 3 artistes chaque soir et 6 rencontres inédites de performances et improvisation jusqu'au 2 mai.
     
    Guy
     
    Quelques secondes ici: